*** Prénom Nom ***
Prénom : Aro
Nom : Volturi
Age : 3007 ans
Statut (humain, vampire, hybride, loup-garou) : vampire et loin d'être végétarien Niak niak
Caractère : Aro est pour ainsi dire... Etrange ça colle bien oui. Bien que pourvu d'un sadisme et d'un amour du sang humain largement à la hauteur de la réputation de son clan, il possède contre toute attente un caractère totalement délirant. Jovial, il a la maturité d'un adolescent à peine pubère et semble toujours prêt à se lancer dans les pires bêtises qui soient. Alors qu'il devrait être froid, dominateur et aussi imposant que ses congénères, il sort du lot par sa personnalité enjouée, et particulièrement engageante. Il réagit à la nouveauté comme un nourrisson devant une sucette, se réjouissant face à des situations pour lesquels il n'y a a priori pas lieu de se réjouir. Charismatique et joueur, il aime faire des rencontre étonnantes. Son entrevue avec Bella et Edward s'est d'ailleurs passée pour sa part sans le moindre problème et il est l'un de ceux qui prônent la transformation de la jeune fille, trépignant d'impatience à la simple idée de ce que la morsure pourrait lui réserver comme pouvoirs.
Malgré son obstination à préserver les traditions de sa race, mordre des humains et transformer le monde en lac de sang tout à sa disposition, il s'entend relativement bien avec la famille Cullen, et respect leurs choix, en un sens. C'est un bon ami de Carlisle, qu'il considère plus ou moins comme un Vampire respectable, et bien qu'Edward ait une dent contre lui et tous ceux qui ont osé avoir quelque vue malsaine sur sa chère et tendre Bella, il conserve pour le jeune garçon une affection certaine, due au rapprochement qu'on peut faire entre leurs dons respectifs. Il exprime d'ailleurs clairement son regret de ne pas pouvoir lire les pensées à distance comme son confrère.
Bien qu'il soit aussi violent et sanguinaire que tous les autres bouchers de sa race, il reste un homme particulièrement distingué, dont l'âge renforce l'expérience et le calme, et il est rare qu'il se rabaisse à chercher ses victimes lui même, préférant laisser ses larbins faire le sale boulot à sa place. Il a d'ailleurs quelques humains à son service, qui entretiennent la demeure et accueillent les victimes. inutile de préciser que lui et ses semblables les tuent dès que leur date d'expiration commence à approcher dangereusement... Il entretient avec Jane une relation pour le moins étrange, sachant pertinemment qu'elle est folle de lui puisqu'il l'a sauvée par la transformation, et prend un malin plaisir à la manipuler plus que les autres. Il est relativement inconstant avec elle. Tantôt froid et distant, tantôt frère protecteur, tantôt séducteur acharné. Inutile de préciser qu'il se ficha absolument qu'elle n'ait que 13 ans.
Il ets le seul à savoir ce qui adviendra certainement de Bella depuis qu'il a lu l'esprit d'Alice, et se réjouit grandement de cette nouvelle
Physique : Grand, fier, droit et ténébreux, Aro a tout pour plaire aux naïves qui ne savent rien de son insupportable inconstance, et ne voient en lui que e majestueux aigle noir qu'il reflète. Les cheveux noirs, les yeux noirs virant parfois sur le rouge, le sourire en coin et le rire jovial, il dégage un calme totalement contradictoire avec sa bonne humeur, lui octroyant une impression flagrante de mystère et d'expérience.
Cependant, la chose que l'on remarque tout de suite chez ce vampire comme chez les autres est sa peau. Elle n'est pas blanche, elle est immaculée. Presque transparente, elle donne à ses interlocuteurs une sensation de fragilité étonnante, qui contraste elle aussi avec sa force de caractère et sa puissance phénoménale. Lorsque l'on regarde son épiderme, on a l'impression qu'il va se déchirer d'un instant à l'autre, sous l'effet de la simple caresse d'un vent d'été. Et pourtant, il est pareil à celui des autres vampires: Aussi solide que de la pierre. Que dis je!, que du marbre...
Histoire : Journal de bord:
"Cher journal. Je commence à me rendre compte que lorsqu'un homme dans ma position atteint l'âge que je suis entrain d'atteindre, il devient de plus en plus capital qu'il commence à réunir ses mémoires. Oh bien sûr, je n'ai pas l'intention de mourir, il ne manquerait plus que ça tiens!, mais les vampires aussi vieux que moi... Enfin, à vrai dire, il n'existe aucun vampire aussi vieux que moi, ha ha ha ha... Bon ben disons que les vampires qui pourraient être aussi vieux que moi savent à quel point il est primordial de marquer son histoire. Bien entendu, j'ai fait beaucoup de choses, et je doute fort que les vampires du monde ne connaisse pas encore mon nom... Ils s'en souviendront. Mais j'ai vécu tant de choses, il serait dommage de ne pas en faire profiter la postérité.
Commençons par le début. Début dont je ne me souviens guère d'ailleurs. C'était il y a 3007 ans après tout. Je me souviens de l'empire romain, mais je ne sais plus très bien ce que j'étais censé y faire. Peut être étais je un fils de général, ou bien un simple soldat envoyé au front pour une cause qui n'était pas la sienne, toujours est il que je me retrouvai bientôt, au bord d'une rivière, agonisant aux côté de mon cheval... Non attends... Y avait il un cheval? Je ne sais plus... Bref, j'agonisais. Ce dont je me souviens le plus clairement, c'est ce grognement à mes côtés. Comme un râle de bête sauvage et tellement affamée que le premier animal venu était certain de finir déchiqueté entre ses griffes. Je pensai bien sûr à un ours, mais lorsque je redressai la tête, je me retrouvai face à un individu clairement anthropomorphe, qui n'avait cependant d'humain que la morphologie. Et encore... La peau luisant comme mille diamants sur son torse nu, les traits tirés par la fatigue et la faim, une position de fauve guettant sa proie, il me toisait de ses deux pupilles injectées de sang. Je me souviens avoir ressenti une terreur affolante en le voyant devant moi, et n'avoir pas cru à ce spectacle. Je songeai qu'il n'était probablement le fruit de mes délires, jusqu'à ce qu'il soit au dessus de moi et plante ses crocs dans mon épaule. Je poussai un hurlement sonore... Alors que je suis assis devant ma feuille, je me rends compte que ce hurlement fut mon sauveur, puisque c'est lui qui attira ma troupe et incita la créature à déguerpir avant qu'elle ne m'ait vidé de mon sang. Je ne sais pas très bien ce qui a fait fuir ce vampire... Une vingtaine d'homme n'aurait pourtant pas suffi à faire fuir le plus faible d'entre nous. Maintenant que j'y pense, il devait réellement être affamé. La vie était dure pour mes congénères à cette époque, et je ne tardai pas à m'en rendre compte.
On me récupéra et m'emmena dans une tente pour m'apporter les premiers soins. Malheureusement, personne ne pouvait rien contre le mal qui me rongeai de l'intérieur. Je passai des heures entières à souffrir milles tortures, traversant ma propre mort, vivant la pourriture de tous mes tissus musculaire, puis le retour à la vie de mon âme... Non pas la mienne. Une autre, plus noire, intense, brûlante, douloureuse et éternelle... Je crois que jamais je n'aurais imaginé qu'il puisse exister pareille torture. Et je me souviens qu'à mon réveil, une telle fore m'habitait que je massacrai sans aucune exception tous les hommes alentours, dévorant leur sang jusqu'à plus soif, ne sachant pas même pourquoi est ce que j'agissais ainsi. Chaque sang était différent, chaque saveur unique, me conférant par la morsure un souffle de vie tel que j'en frissonnai d'excitation...
Je vécus quelques années confinés dans les montagnes ou le combat avait fait rage, apprenant chaque jour l'étendue de mes pouvoirs, dont ma force supérieure et ma capacité à connaître les pensées de tous ceux que j'effleurai. D'abord des hommes, puis des animaux, quand il ne restait aucun survivant aux alentours. Je n'osai pas encore me montrer en haute société, certain que ma condition vampirique serait repérée à des kilomètres et que je serai brûlé sur un bûcher. J' appris à maîtriser l'étendue de mes capacités, et même à les posséder. Chaque parcelle de ma nouvelle vie fut étudiée avec un soin méticuleux, et ce ne fut que lorsque j' estimai que je ne pouvais en apprendre plus par moi même que je revins dans la société. J'étais dans un sale état, et dus subir une sérieuse toilette avant de ressembler à autre chose qu'à une bête sauvage. Je m'installai dans l'auberge d'un village, et vécus encore quelques années d'épreuve. D'abord, J'appris tout le pouvoir de séduction que ma conférait ma nouvelle vie. A croire que les humains n'étaient attirés que par la mort. Une fois lavé, habillé et pourvu de toute mon élégance, il me suffit d'un claquement de doigt pour que les plus belles femmes de la région parlent déjà de moi comme d'une divinité terrestre. Je m'abreuvai de cette adoration, et vécus un temps de libertinage absolu, renforçant par là mon arrogance ainsi que mon charme. Mais mieux que cela, j'appris à vivre auprès des humains sans avoir un besoin constant d'abréger leur existence. Au début, il me suffisait de sentir l'odeur du sang pour devenir totalement enragé. Après deux ou trois siècles, je fus d'un tel self control que la possibilité de traiter constamment en affaire avec des humains m'était ouverte sans problème. je me forgeai un nom, une élégance et une réputation. Pour moi, les humains devinrent pareils à des bêtes de somme: Je n'avais que faire de leur vie, mais ils m'étaient utiles. J'appris également à savourer le sang comme un grand cru. Là ou je me sentais autrefois obligé de dévorer, je sus que ce liquide sublime devait être savouré avec la plus grande précaution. Devenant un fin connaisseur, peut être même un peu trop exigeant, je traquai dès lors non pas pour me nourrir mais bel et bien pour goûter.
Je traversai les âges aussi vite que l'éclair. Non seulement le temps n'avait plus aucune emprise sur moi, mais je le narguai avec un plaisir toujours plus intense. je devins rapidement le plus vieux et respecté des vampires qui soient. Parce que, aurais je oublié de le préciser, je ne tardai pas à rencontrer bon nombre de mes congénères, et à m'en fabriquer d'autres. C'est ainsi que le clan Volturi naquit, pour le meilleur et pour le pire. Notre lieu de résidence devint rapidement Volterra, ville que j'affectionnait particulièrement pour sa beauté et son charme. Je rencontrai du monde, appris à connaître les diverses positions des vampires, végétariens ou anthropophages, et bien qu'il ait toujours été exclu pour moi de devenir un fervent défenseur de la cause humaine, j'accueillis les points de vue comme celui de mon ami Carlisle avec un certain respect.
Je rencontrai ma cantante à l'âge de 567 ans. Contrairement à ce cher Edward, je ne pus résister à l'envoûtement qu'elle exerçait sur moi. La société étant à l'époque traversée par une vague de crime, dont la plupart était de moi, je le dis sans honte, son meurtre passa totalement inaperçu, et le souvenir qu'elle m'en laissa restera à jamais gravé dans ma mémoire. Si je n'avais pas été aussi avide de son sang, elle aurait fait une merveilleuse compagne, maintenant que j'y pense...
Et me voilà, derrière le bureau le plus majestueux de la plus somptueuse demeure de Volterra. J'ai accompli tout ce qu'un homme devait accomplir, et j'espère trouver au sein des générations futures autant de plaisir que m'en a apporté ma propre vie. Mais bien sûr, même si je suis désormais un vieillard sénile, la vie est loin de s'arrêter là...
Loisirs/Activités/Hobbies : La plupart de ses loisirs se limite à lire des livres dans sa vaste demeure. Il ne sort que rarement, d'une part parce que sortir en plein jour en Italie est plutôt compromettant pour ces pauvres vampires étincelant au soleil, d'autre part parce que le monde l'ennuie un peu. Quand on a 3007 balais révolus, on finit par l'avoir bien vu, le monde. Autrefois, dans sa jeunesse, il aimait parcourir les vastes étendues, mais il commence à songer que tout se ressemble et rien n'est aussi exceptionnel qu'il l'escomptait. Alors il lit, et il mange.
Autrement, et il faut bien le dire, c'est un petit tyran machiavélique et sadique que rien de réjouit plus que de voir tout le monde ramper à ses pieds. Il adore gérer les habitants de son repère et s'occupe de la gestion de ses serviteurs avec une bonne volonté extraordinaire. Il aime la compagnie des femmes, c'est certain. Humaines, elle meurent après l'amour, vampires, elles lui survivent quelques temps, si elles ont de la chance. La seule personne avec laquelle il conserve une relation plus ou moins durable est Jane, avec laquelle il a fini par nouer des liens étrange.
Il fait partie du trio Aro-Marcus-Caïus. Il est le plus insupportable des trois, les deux autres se contentant en règle générale de tirer une gueule de trois pieds de long.
Phobies : Bon, que les choses soient claire, monsieur Aro Volturi a 3007 ans, alors ce n'est pas une araignée dans un coin de mur qui va le faire bondir. Comment dit on déjà...? Ah oui, ce n'est pas au vieux songe qu'on apprend à faire la grimace. Il en a bien trop vu pour être réellement terrifié par quoique ce soit, bien qu'il n'en ait visiblement pas trop vu pour s'exalté comme un gosse de dix ans mais passons...
Il y a tout de même une chose que lui et les siens ont en commun, une peur glaciale et vieille comme le clan, c'est la découverte des vampires. Alors que les Cullen vivent en bonnes relations avec les humains, les Volturi se contentent de les dévorer et d'avoir pourtant une réelle peur d'être découverts. Voilà pourquoi ils sont les seuls vampires à même de tuer d'autres vampires, et qu'ils en profitent pour rayer de la carte tous ceux qui osent soient les insulter, soit, pire, compromettre leur absolu secret.
Don(s) : Il lit les pensées en touchant la peau de ses victimes
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Nom ou pseudo : Fanny
Age : 23 ans
Passion(s) : La lecture, l'écriture et les RPG
Niveau rpg : 100% la fin de semaine, 50% et + la semaine
Vous pensez savoir venir combien de fois par semaine sur le fo ? : 7/7 dépendant ce que j'ai a faire
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